Xavier Chevalier
Des images floues des gros mollets de Safet, puis des souvenirs cryptés des années Canal, en passant par un blessure jamais refermée après une énième simulation de Fabrizio, Xavier voit dans le PSG une religion et dans le Parc sa chapelle intime. Il aime raconter ses souffrances hebdomadaires pour faire pénitence car la vie de supporter n’est autre qu’un péché nécessaire.